1 lien privé
Super émission. Et super discours de Morgan Large à la fin sur une musique de #Fleuves <3
Gant tammoù e brezhoneg e-barzh !
François Ruffin qui parle au gouvernement. Ça pose des bonnes questions à mon avis. Certes, on est dans une crise impensable. Mais le gouvernement ne veut surtout pas remettre en question la doctrine néolibérale, alors :
- toujours pas plus de lits; au contraire, il y en a moins
- toujours pas de vaccins produits en France et c'est pas prévu. La France ne propose même pas l'idée de supprimer les brevets pour que tout le monde puisse en produire. Maintenant que ça rapporte de l'argent, on va pas commencer à distribuer, hein.
- notre futur, notre vie, est dictée le bon vouloir d'une personne toute puissante. C'est du pile ou face.
Via un shaarli quelconque, je me rappelle plus
Les vaccins Covid19 : encore une fois, on socialise les dépenses et on privatise les recettes…
Informatique et syndicalisme
La fédération DAO appelle toutes les personnes apprenant le breton à se rendre à Quimper samedi avec l’ensemble des défenseurs de la langue.
Une nouvelle plateforme pour héberger des balados !
Un site internet entièrement consacré à l’hébergement et la diffusion d’émissions sonores faites pour tracer collectivement des routes vers l’égalité et la justice. Nos ami·es, nos camarades, nos organisations, nos revues, nos bandes organisées, trouveront enfin un écosystème commun pour de multiples podcasts, existants ou nouveaux. Il suffira d’adhérer à quelques principes de fonctionnement élémentaires pour diffuser vos contenus, en pleine autonomie, sur ce support médiatique engagé et libre.
Épisode GÉNIAL.
Là on se retrouve avec des sommes qui sont un peu folles. Elon Musk, il est aussi riche que l'Algérie. Il est aussi riche que le PIB cumulé de 38 millions d'Algériens. […] Il est temps d'avoir un discours un peu moins diplomates avec les grandes fortunes de ce monde.
Oh, rigolo ça !
Ça fait écho à ce qu'on lisait sur affordance.info : https://liens.goe.land/shaare/NgcZIA
Dégueulasse…
Quel est le point commun entre Jean Proutex, Emmanuel Maprout et Bruno Le Prout ? Entre Léa Salamé (France inter), Delphine Ernotte (France Télévisions) et David Pujadas (LCI) ? Entre Guillaume Pépy (SNCF), Henri de Castries (Axa) et Jean Peyrelevade (Crédit Lyonnais, Suez…) ? Ces personnes, qui dirigent la politique, les médias et l’économie de notre pays, sont toutes et tous issu(e)s de milieux favorisés, c’est un premier point commun. Mais le second point commun, qui en découle, c’est qu’ils ont fait les mêmes études sélectives : Science Po Paris et l’Ecole Normale Supérieure (ENS) et/ou l’Ecole Nationale d’Administration (ENA)… Bref, ces gens qui nous dirigent et nous méprisent sont passés par des grandes écoles.
Le premier épisode du Projet Adama est consacré à la parole d’Aya Cissoko, ancienne sportive de haut niveau, triple championne du monde en boxe, écrivaine et comédienne.
Un balado récent (~ 1 an), utile, politique : le Projet Adama.
Grand réussite, grande utilité !
Grèves, licenciements : dans certains magasins du réseau Biocoop, les salariés font part d’un malaise. Ces conflits sont révélateurs d’une crise de croissance, les principes fondateurs de la coopérative laissant peu à peu la place à une culture qui se rapproche de celle de la grande distribution.
Je tenais à vous le dire, Monsieur, la jeunesse perd pied. Dans mon entourage, à Paris, les seuls de mes amis qui ne partagent pas mon mal-être sont ceux qui ont décidé de fermer les yeux et de demeurer apolitiques. Comment les blâmer ? Tout semble plus simple de leur point de vue. Nous sommes cloîtrés chez nous pendant que la planète se meurt dans l’indifférence généralisée, nous sommes rendus responsables de la propagation du virus alors même que nous sacrifions nos jeunes années pour le bien de ceux qui ont conduit la France dans cette impasse.
Border que c'est vrai
La reconnaissance faciale en temps réel n’est toujours pas autorisée en France. De nombreuses expérimentations ont pourtant déjà lieu et des sociétés se positionnent, avec dans leur viseur, les Jeux olympiques de Paris en 2024. À la clé, un marché de sept milliards d’euros.