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Les crypto-monnaies sont devenues un véritable phénomène à travers le monde depuis plus d’une décennie. Ces monnaies souvent considérées comme magiques suscitent un engouement qui dépasse parfois jusqu’à nos dirigeants. Pourtant, si elles prétendent changer le monde, s’opposer au monde de la finance traditionnel et aux banques centrales, elles ne sont pas aussi révolutionnaires qu’elles ne le prétendent. C’est en tout cas la vision de Nastasia Hadjadji, une journaliste française qui a décidé de mener l’enquête et d’apporter un éclairage critique sur ce milieu souvent très opaque pour les non initiés. Dans un livre intitulé No crypto, elle revient sur les origines et l’histoire des cryptomonnaies, ses échecs économiques, l’idéologie qu’elles portent, mais aussi le désastre écologique qu’elles représentent. A ses yeux, plus qu’une monnaie, le bitcoin est une véritable religion, dont il faudrait se méfier.
Super, super intéressant.
"Combien les hommes et leur virilité coûtent-ils à la société chaque année ? Combien pourrions-nous économiser si les hommes se comportaient comme des femmes ? Au-delà de l’idée que l’on peut se faire des rapports hommes femmes, de l’opinion qu’on peut avoir sur le féminisme, aujourd'hui nous allons parler avec des faits et des chiffres de ces différences entre les genres. Nous allons aborder le sujet de la virilité, avec l’angle le plus économique possible. " Salomé Saqué reçoit Lucile Peytavin, historienne et auteure du livre "Le coût de la virilité".
Super intéressant !
Je suis pas très bon en économie, j'ai besoin qu'on m'explique plusieurs fois la même chose pour que je me rappelle d'un truc (un temps).
Ce genre de vidéo/podcasts, c'est une bonne piqûre de rappel :)
(par contre, pourquoi des titres de vidéo en majuscules, pourquoiiii ?)
Ah ben tiens, c'est pas une surprise :
[…] ce sont surtout les riches qui ont épargné ces derniers mois. « Près de 70 % du surcroît de l’épargne ont été faits par les 20 % des ménages les plus riches », résume le Conseil d’analyse économique [qui ajoute] que les ménages appartenant aux deux déciles les plus pauvres de la population ont même désépargné : ils ont dû puiser dans leurs bas de laine pour affronter la crise.
Femmes puissantes, de Léa Salamé… et le revers de la médaille, par Là-bas si j'y suis.
Ça parle économie en tant de crise. Qu'on a des choix, en fait, des choix politiques. Mais que le système financier actuel est bien huilé et va pas se laisser faire.