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Merci les étudiant·e·s, merci les syndicats, merci les syndicats étudiants
(et vive la crêpe)
:((((
Ça m'étonnerait même pas que le gouvernement ouvre des numéros verts posthumes…
Tiens, je prends l'idée d'utiliser OBS pour des cours !
À proposer aux profs, ça peut être sympa.
Et puis les petites astuces pour rendre des cours un peu plus interactifs, aussi. Ça s'invente pas en fait, l'enseignement pédagogique.
Ça fait écho à ce qu'on lisait sur affordance.info : https://liens.goe.land/shaare/NgcZIA
Dégueulasse…
Frédérique Vidal Ministre des Gymnases et non des étudiants.
Un gymnase qui brûle : c'est vraiment pas bien.
Trois tentatives de suicide en DEUX jours parmi les étudiant·e·s de Lyon : RIEN À FOUTRE.
Pour Mme Vidal, les garanties ne sont pas réunies pour laisser les établissements recevoir ne serait-ce même que la moitié de leurs effectifs. "Le problème, c’est le brassage, argumente-t-elle. Ce n’est pas le cours dans l’amphithéâtre mais l’étudiant qui prend un café à la pause, un bonbon qui traîne sur la table ou un sandwich avec les copains à la cafétéria."
Les gymnases brûlent pour que les partiels ne s'y tiennent pas, des étudiants de défenestrent, mais le problème de Frédérique Proutal c'est ce putain de bâtard de bonbon qui traîne sur la table ; le problème de Frédérique Proutal voyez-vous ce ne sont pas les amphis vides d'étudiants et de sens, les suicides, les actes désespérés, les consultations psy qui explosent, les étudiants qui crèvent de faim derrière leurs écrans. Le problème c'est "l'étudiant qui prend un café à la pause ou un sandwich avec les copains à la cafétéria". Et ce putain de gros bâtard de bonbon à la con qui traîne sur la table. Salaud l'étudiant. Bâtard le bonbon.
Nan mais quelle râclure de bidet infâme cette horrible ministre ! :o :o :o
Avec les examens à distance en raison du Covid, les techniques de triches étudiantes évoluent. Juliette, trop angoissée, a triché pour un oral, Sophie s'est lancée dans une petite industrie collective de la triche. Benjamin, lui, s'est battu contre un logiciel anti-triche.
La proutidente de l’université n’ira pas dans le sens du préfet. Ce dernier souhaitait la tenue d’une commission de discipline.
C'te violence :o
Florence Gourlay est surtout inquiète pour ses étudiants. « Ils sont en détresse. C’est toute notre jeunesse qui risque gros », clame-t-elle, tout en dénonçant les « inégalités » entre les filières. « Certains ont le droit d’aller en cours. Pas d’autres. Y a-t-il des étudiants essentiels et non essentiels ? », interroge-t-elle.
Plus de cours en présentiel, plus de stages ou de voyages à l’étranger, pas de sortie possible après 20 heures et surtout… plus de boulot étudiant. Depuis la fin octobre, les étudiants sont "en mode survie". A Chambéry, le campus de l’Université Savoie Mont Blanc est vide, sauf le mardi.
Whaa, la claque.
Depuis le début de la semaine, quelques étudiants, par groupe de 10 maximum, ont retrouvé les bancs de la fac, mais cela reste encore très marginal. L’essentiel des cours se fait toujours en distanciel. Depuis l’apparition du virus, la vie étudiante est en pause. Le moral des plus jeunes est au plus bas.