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C'est vraiment super la mondialisation de l'agroalimentaire.
La conséquence de la hausse des charges rappelle Gwénaël Brohan : « 2022 a été une bonne année. Mais l’hiver dernier, nous avons dû semer avec un engrais deux fois plus cher et nous sommes confrontés à une hausse de toutes nos charges, qu’il s’agisse des produits phytosanitaires, du matériel agricole ou du gasoil ».
Une hausse des charges à laquelle va s’ajouter, en Bretagne, une baisse des rendements - alors que la production de blé progresse au plan national par rapport à 2022 et à la moyenne des cinq dernières années […]. Faute d’une qualité suffisante, le blé breton ne pourra pas non plus être transformé par les meuniers. Et s’il sera valorisé pour l’alimentation animale avec un prix soutenu du fait du blocage des exportations ukrainiennes, Eureden s’attend à une perte de valorisation comprise entre 10 et 20 %, par rapport à une année moyenne, compte tenu de la baisse des rendements et du poids spécifique du grain.
En gros, tout ça pour nourrir des animaux d'élevages, très souvent intensifs. Youpi.
Un producteur de lait et une éleveuse de veaux travaillant sous contrat avec des multinationales de l’agroalimentaire, racontent l’envers du décor d’un système dont ils sont dépendants. Un récit signé Inès Léraud
Ah ben c'est un modèle qui marche on dirait, la grande distribution.
Associations environnementales sous pression, journaliste menacée, lycées agricoles sous influence... La cellule Demeter censée protéger les agriculteurs est accusée par des associations d’étouffer tout débat autour du modèle agricole intensif.
Une cellule créée par #Castaner, qui associe gendarmerie et FNSEA. Il en résulte des pressions graves et dangereuses sur des associations environnementales, sur des individus (journalistes notamment). C'est hyper grave, et ça vient du gouvernement, youhou.
Un atlas des racines (sauvé de l'oubli)
Beau reportage (mais triste) en terres Léonardes.