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« Locale » et « de saison » : c'est comme ça que devrait être au maximum notre alimentation, si l'on veut se nourrir de façon éco-responsable. Mais renoncer aux tomates en hiver suffit-il ? Certains ingénieurs-gourmets militent pour aller plus loin encore, en proposant une cuisine élaborée grâce à une énergie, elle aussi, locale et de saison : celle du soleil de Méditerranée.
Au Présage, restaurant situé sur un technopôle au nord de Marseille, tout est cuisiné « à l'encre solaire », grâce à une parabole ingénieusement reliée à un fourneau solaire.
Tiens, il m'a inspiré/motivé cet épisode. Ça donne envie de faire des trucs : récupérer plus de "déchets" alimentaires (bon, ça part déjà en compost et aux poules ici, mais y aurait peut-être moyen d'encore plus valoriser, avec de la "pico-méthanisation"), faire un vrai système pour rendre facile la récupération d'eau de lavage des légumes, etc.
Cet amour pour la frite et le travail bien fait ! 🥰
Pour déconstruire l’idée de détox, Émilie Laystary discute avec Bernard Lavallée, également appelé « Le nutritionniste urbain ». Depuis Montréal, le diététicien-nutritionniste et auteur de « N'avalez pas tout ce qu'on vous dit » (éditions La Presse) fait un fantastique travail de pédagogie et de vulgarisation scientifique sur les questions relatives à la nutrition.
Aah, ça change des émissions de France Inter (cf https://www.franceinter.fr/emissions/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-du-jeudi-06-janvier-2022 -_-)
Quand les températures baissent, notre envie monte de se faire une raclette ! On questionne et on cuisine cette tradition fromagère.
Encore un balado sur l'ubérisation de la bouffe, du point de vue de la personne qui livre.
L'hyperphagie. Petit reportage intéressant. Où l'on apprend pourquoi mettre un avertissement sur les pouets du fedivers quand on parler de bouffe peut valoir le coup (mais c'est pas sûr que ça empêche les personnes atteintes de cette maladie...)