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Nos vies contemporaines, nos quotidiens, nos villes et identités sont structurés autour du travail. Mais cela nous convient-il vraiment ? Quelles conséquences cette réalité a-t-elle sur notre santé mentale ? Peut-on échapper à l’aliénation qu’implique le travail ?
Un podcast par Blast !
Clément Viktorovitch revient chaque semaine sur les débats et les enjeux politiques. Dimanche 5 février, le débat sur la réforme des retraites avec les notions de "valeur travail" et de "droit à la paresse".
Avec du Friot dedans !
Actuellement association loi 1901, la Clameur a pour objectif de devenir une maison de production de podcasts et un espace de création collective organisé sous la forme coopérative.
S’appuyant sur le modèle de l’économie sociale et solidaire, elle a pour objectif de créer un espace de production et d’animation collectif et équitable pour l’ensemble des acteur‧ices de la chaîne de production sonore.
L’utilité du métier d’aide à domicile n’est plus à démontrer. Ces professionnel.le.s, très majoritairement des femmes, interviennent auprès de personnes isolées et vulnérables pour du ménage, du repassage, des repas… Pourtant, ils et elles ont toujours connu des salaires dérisoires. Pire, elles et ils dénoncent des conditions de travail toujours plus difficiles. Ce paradoxe entre une « fonction » sociale indispensable et le traitement proposé à celles et ceux qui l’accomplissent, c’est ce qu’on va interroger ensemble dans ce nouvel épisode de Penser Les Luttes.
Les aides à domicile passent de une à trois heures chez chaque bénéficiaire. Elles doivent arriver à l’heure convenue et ne partir qu’une fois la durée d’intervention programmée écoulée. Les trajets et les temps morts ponctuent leurs journées de travail, sans pour autant être comptés comme temps de travail. Sylvie, Karima et Sophie sont indemnisées 37 centimes du kilomètre quand elles se rendent du domicile d’un bénéficiaire dépendant au domicile d’une autre. Mais si un trajet a pour point de départ ou d’arrivée leur propre domicile, il n’est pas indemnisé. Idem si elles ont une coupure dans la journée. Comme toutes les aides à domicile, elles peuvent passer la journée à travailler tout en étant rémunérées seulement quelques heures. Les interventions ont souvent lieu tôt le matin ou aux heures des repas le midi et le soir, avec une coupure en début d’après-midi.
Aucune reconnaissance pour un boulot tellement nécessaire… Et encore les femmes (à 97% dans cette profession) qui encaissent. Poke @Cumulo@mastodon.fedi.bzh
Nadège, serveuse, a dû subir le racisme décomplexé de son supérieur hiérarchique. Dylia, machiniste, a été accusée d'avoir écrasé un piéton au volant de son bus. Deux histoires, à l'issue déconcertante, qui racontent la violence grandissante du milieu professionnel.
Quand le boulot est vraiment pourri, jusqu'à la moelle…
1,8 million de salariés travaillent pour de drôles d’employeurs : des associations. Travailler pour une cause qu’on défend, aux côtés de militants, dans des valeurs d’horizontalité et de respect a tout pour plaire. Mais il y a loin des discours à la réalité.
Espace de travail partagé à Crozon et bientôt à Pont-de-Buis
L'endométriose et le travail.
Pour répondre aux difficultés rencontrées par les artisans indépendants — l’isolement, le prix élevé du foncier et des outils — deux ingénieurs ont créé Comme un établi. La coopérative, qui propose un espace de travail partagé, a ouvert ses portes aux premiers artisans début septembre.
Petite explication d'un mécanisme que les gouvernements UMP, PS et LREM ont mis en place pour soumettre les travailleurs aux patrons.
En voila une bonne idée !
Avec la crise économique monstrueuse qui commence, et les vagues de licenciements qui s’annoncent, il y a beaucoup d’interrogation sur la meilleure façon d’adapter son temps de travail pour la surmonter. Pour certains, comme le président du Medef, il faut y mettre du sien et travailler plus. Fin mars, le gouvernement a aussi adopté temporairement une ordonnance qui a fait passer la durée hebdomadaire de travail maximale de 48 à 60 heures dans certains secteurs. Bien loin de chez nous, d’autres prônent au contraire la réduction du temps de travail. En Nouvelle-Zélande, la Première ministre Jacinda Ardern voudrait généraliser la semaine de quatre jours payés cinq pour aider notamment les secteurs du tourisme et de l'hôtellerie via la consommation. Alors on s'est demandé, dans ce nouvel épisode de Travail (en cours), si la semaine de quatre jours pouvait sauver notre économie de la crise. Pour y voir plus clair, vous entendrez dans cet épisode Pierre Larrouturou : économiste de gauche, homme politique européen, il défend la semaine de travail de quatre jours depuis les années 1990. Pour explorer comment cette organisation peut être viable pour les entreprises, vous entendrez aussi Sébastien Antonio, qui travaille depuis 22 ans quatre jours payés cinq chez Yprema, une entreprise qui fait du recyclage de matériaux de BTP, ainsi que Jérémy Clédat, le PDG de Welcome to the Jungle, un média en ligne qui a adopté ce rythme récemment. Et vous, quel est votre rythme de travail en ce moment, pour surmonter la crise économique que nous traversons ? Racontez-le nous sur Instagram, Twitter ou à hello@louiemedia.com Travail (en cours) est un podcast de Louie Media. Journaliste et présentatrice : Marie Semelin. Louise Hemmerlé est chargée de production. Cet épisode a été monté et réalisé par Cyril Marchan. La musique est de Jean Thévenin et le mix a été fait par Olivier Bodin. Marion Girard est responsable de production, et Maureen Wilson responsable éditoriale. Mélissa Bounoua est à la direction des productions et Charlotte Pudlowski à la direction éditoriale. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Insupportable ce terme